MARCHER EST MA PLUS BELLE FAÇON DE VIVRE
Notes éparses
Joël Vernet
Éditeur :La rumeur libre
Livre
Langue d'origine :Français
Format :14,1 x 19,2 cm
Nombre de pages :112
Date de parution :01/06/2021
ISBN :978-2-35577-206-1
Prix :16,00 €
Argumentaire :
Il est encore temps d’aller aux fontaines, de trancher les secondes comme un fruit, d’écouter le chant des paroles montant de Babel.
Personne n’est plus dans sa vie, dans aucune vie. Oui, tout est à réinventer, tout. Même l’amour, surtout l’amour et la bonté. Ces deux diamants qui se sont éteints au cours des siècles, sur lesquels nous avons jeté les eaux de nos tourments, sur lesquels nous crachons notre fiel. Oui, tout est à faire jaillir de la lumière, pour étendre la liberté, la liberté de tous. Nous sommes au matin de l’aventure fabuleuse, avec nos outils de préhistoire, nos goûts de caverne, nos vieux démons. Nous manquent la fraîcheur des sources, le renouveau des fleuves, la fraternité des oiseaux. Nous manque le plus simple que nous avons relégué aux oubliettes. Il est encore temps d’aller aux fontaines.
Ce livre est composé de quatre parties: Lettre au voyage immobile, qui fait office d’introduction au reste du récit. / L’homme désaffecté : L’homme désaffecté : ton semblable, ton double. / La lumière n’est à personne : Les vrais travaux, les seuls, sont des travaux du vent. / La lumière dans les arbres : J’ai aperçu les premiers bourgeons dans le jardin où se renverse toujours la course du soleil.
Biographie ou Bibliographie de l'auteur :
Joël Vernet est né dans un village aux confins de la Haute-Loire et de la Lozère. Dès les années 1975, il entreprend plusieurs voyages à travers le monde qui le conduiront en Afrique, Asie, Europe. Il a vécu deux années à Alep (Syrie).
Il a publié plusieurs livres chez Lettres Vives, Fata morgana, Cadex Éditions, l’Escampette, La Part des anges, Le Temps qu’il fait, La Part commune, tous livres inclassables, ni poèmes véritables, ni journaux de voyages, où sont célébrés le minuscule et l’immense, le proche et le lointain.
Il travaille avec des photographes, Michel Castermans, Françoise Nuñez, Bernard Plossu, Pierre Verger, et de nombreux peintres, en particulier Jean-Gilles Badaire.