LÈVRES URBAINES 51
Traductions
Revue
Format :22,8 x 15,2 cm
Nombre de pages :60
Nombre d'illustrations :0
Date de parution :08/02/2021
ISSN :9782896453917
Prix :10,00 €
Sommaire :
Lèvres urbaines 51 est une célébration de la traduction.
Voici un extrait de préface qui sert à la présentation de ce numéro :
Poésies, récits, essais, critiques, anthologies, mais aussi traductions ont été les pôles des travaux littéraires de Claude Beausoleil tout au cours de sa vie. Le regretté fondateur de lèvres urbaines, en effet, chérissait les passages d’une langue à une autre qu’il voyait comme un moyen supplémentaire de partage et un élargissement des œuvres et de leur portée. C’est pourquoi il avait prévu que le numéro 51 de la revue porterait sur cet aspect spécifique de sa vie poétique. Nous avons donc assemblé ici des poèmes et des poètes qui trouvent leur miroir en diverses langues, surtout le français et l’espagnol (que celui-ci soit du Mexique, d’Argentine ou de Colombie), mais aussi l’occitan, le zapotèque et le maya.
Voici donc, comme en effet de miroir, des poèmes qui sont présentés dans leur langue d’origine, et des poèmes qui les traduisent, c’est-à-dire les font renaître pour un autre public, sous un autre éclairage, comme en écho : dans une autre langue. Sous d’autres habits, pourrait-on dire. Avec d’autres mots, d’autres expressions, une interprétation qui joue un rôle intermédiaire, ces poèmes vivent-ils différemment, respirent-ils autrement?
Les traducteurs invités sont : Guy Mathieu, Gabriel Martín, Bernard Pozier, Ana Cristina Zúñiga, Jean Portante, Feliciano Sánchez Chan et Rocío Ugalde.
En fin de numéro, Bernard Pozier, directeur littéraire des Écrits des Forges, fait la présentation du lauréat 2019 du Prix de poésie Lèvres urbaines, Hugh Hazelton, et du lauréat 2020, Pierre Chatillon.