J'aimais cet homme qui chantait le fleuve
Fatoumata Keita et Michel Calzat
Éditeur :La passe du vent
Livre
Langue d'origine :Français
Format :20,0 x 21,0 cm
Nombre de pages :94
Date de parution :11/08/2016
ISBN :978-2-84562-299-9
Prix :25,00 €
Argumentaire :
Carnet de voyage poétique, J’aimais cet homme qui chantait le fleuve mêle les poèmes de l’auteure malienne Fatoumata Keïta aux photographies des bords du fleuve Djolibà à Ségou et chez les Bozos du village de Géinide, prises par Michel Calzat entre 2012 et 2016, guidé par son ami Mamadou Kélépély.
Les photographies de Michel Calzat offrent une vision apaisée, sereine, du fleuve Niger et de ses populations, les Bozos, que le photographe nous invite à découvrir.
Saison des pluies, saison sèche, Michel Calzat joue avec l’harmonie des couleurs, les paysages linéaires du fleuve et les ambiances feutrées de Ségou. C’est une invitation à la découverte d’un Mali authentique, inspirée des écrits d’Amadou Hampâthé Bà et de Moussa Konaté ; c’est dans cet esprit qu’il a souhaité provoquer un écho poétique avec l’auteure Malienne Fatoumata Keïta.
J’aimais cet homme qui chantait le fleuve est une ode au fleuve Niger, aux Maliens, et à la vie.
Un texte de Thierry Renard, poète et éditeur, referme ce livre.
Ce livre fait suite à la parution, en 2012, de l’ouvrage collectif Les poussières du vent se lèvent tôt rassemblant les textes de Joël Bastard, de Thierry Renard et les photographies de Michel Calzat.
Biographie ou Bibliographie de l'auteur :
Les auteurs :
FATOUMATA KEITA, AUTEURE
Née en 1977 à Baguinéda, au Mali, Fatoumata Keïta est administratrice de l’action sociale. Diplômée en socio-anthropologie et en socio-économie du développement, elle est l’auteure de Crise sécuritaire et violences au Nord du Mali, 2014, Sahélienne ; à toutes les Muses (Éditions du Manden, 2014) ; Sous fer (Roman, Sahélienne/Harmattan 2013) ; Polygamie gangrène du peuple (Nouvelle, NEA 1998)…
Lauréate du 2e prix de la première Dame du meilleur Roman féminin à la seconde édition de la Biennale des Lettres de Bamako, Fatoumata Kéïta est aujourd’hui une valeur sûre de la littérature africaine. Un immense talent confirmé par son premier roman, Sous Fer. Lauréate du prix Massa Makan Diabaté 2015 de la Rentrée littéraire du Mali et du 2e prix du meilleur roman de l’Afrique de l’Ouest.
MICHEL CALZAT, PHOTOGRAPHE
Après l'ouvrage La sentinelle du Fleuve, Édition Hivernage, 2006, avec les textes d'Antoine Martin, après l'exposition Sénégal Pays Sérère, sur les pas de Léopold Sédar Senghor en 2008, après l'édition du livre Les poussieères du vent se lèvent tôt, aux Éditions La passe du vent, 2012, Michel Calzat poursuit son voyage photographique en Terre Africaine.
Ses voyages successifs au Mali nous transportent cette fois, sur les rives du fleuve Niger Djolibà entre Bamako et Ségou. C'est une vision apaisée, sereine, du fleuve et de ses populations, les Bozos, que le photographe nous invite à découvrir. Saison des pluies, saison sèche, Michel Calzat joue avec l'harmonie des couleurs, les paysages linéaires du fleuve et les ambiances feutrées de Ségou. C'est une invitation à la découverte d'un Mali authentique, inspirée des écrits d'Amadou Hampâthé Bà et de Moussa Konaté ; c'est dans cet esprit qu'il a souhaité provoquer un écho poétique avec l’auteure Malienne Fatoumata Keïta.