Maxime Perrin

Maxime Perrin. Photo c.i.r.c.é – Marché de la Poésie

Maxime Perrin commence l’accordéon très jeune et acquiert une expérience de la scène grâce aux bals; puis découvre une autre facette de son instrument dans les concours (lauréat de Radio France, de l’UNAF…) A la recherche d’un monde plus classique, il entre au conservatoire de Paris 18, dans la classe de Max Bonnay, où il fait des études en supérieur.
Il s’intéresse de plus en plus au jazz et aux musiques improvisées multipliant les expériences de scène au contact de formations musicales d’Europe de l’est (cirque Alexis Gruss, Les fils Canouche..) et de chansons (Dikès, Akim, Air brut…). Il est fondateur d’Anamorphoses, un duo voyageur avec J. Mauch (l’album Esperanto est édité par MusicBox publishing sous le label OP Music) et de SessionS I avec le clarinettiste S. Thezé (Cd éponyme).
Il est également arrangeur pour Tiziana Valentini (chansons urbaines déjantées) et participe à différents projets jazz aux côtés de Bertrand Renaudin, Thierry Bonneaux, Didier Malherbe, et également d’Olivier Cahours avec lequel un album sortira en 2020.
Il vient de créer un quartet, Les Célestins, qui marie Jazz et Hip hop en collaboration avec le musicien tunisien Malek Khemiri, (différentes tournées s’organisent en Afrique du nord).
Il a suivi parallèlement des études de musicologie à La Sorbonne en master (avec L. Cugny).
Il accompagne Christophe Alévèque pendant plus de dix ans, ce qui lui a permis de jouer à l’Olympia, au Casino de Paris, au Théâtre du rond-point, à la Comédie Caumartin et dans divers festivals : Avignon, Montréal…
Toujours en recherche de nouveaux horizons, il accompagne également des spectacles de la ligue d’Impro (LIFI, Cie Femme à Barbès) et de nombreux spectacles de créations théâtrales (Cyrano, Petit Molière 2017 ; Chambre Bleue avec le Collectif In Vitro, Le Cœur d’Hippolyte), et poétiques (Arrabal, Sabatier, Delouze, Dagtekin…).
Il lutte pour conduire le jazz un peu partout sur les routes européennes et internationales.
Maxime Perrin est adepte des « petits lieux vrais » où le public est proche des musiciens pour ne cacher aucun artifice. Bref, du jazz tout terrain au nom de l’improvisation et de la liberté.

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Maxime Perrin au 38e bis Marché…