Nouveautés des éditeurs et des revues / 2021
Cliquez sur l’entrée pour plus d’infos
IL RESTERA DES ÉTINCELLES
Marcel Migozzi (peintures de Serge Plagnol, texte liminaire de Maryline Desbiolles)
Éditeur :éditions Tipaza
Livre
Langue d'origine :Français
Format :22,5 x 21,5 cm
Nombre de pages :142
Date de parution :15/04/2021
ISBN :978-2-912133-53-3
Prix :30,00 €
Argumentaire :
Cet ouvrage rassemble cinq recueils de Marcel Migozzi dont les poèmes, essentiellement inédits, sont accompagnés de dix reproductions de peintures de Serge Plagnol créées pour cette édition. Texte liminaire de Maryline Desbiolles.
Biographie ou Bibliographie de l'auteur :
Marcel Migozzi, enseignant à la retraite, est né à Toulon en 1936, rue de la Fraternité, dans une famille ouvrière d’origine corse. Depuis 1956, il vit et travaille au Cannet des Maures, village du Centre-Var.
Cofondateur des revues de poésie La Cave et Chemin de 1960 à 1968, membre du Comité de rédaction de la revue Action Poétique de 1965 à 1968, du Conseil de rédaction de la revue Sud de 1994 à 1998, correspondant permanent de la revue luxembourgeoise Estuaires de 1992 à 2002.
Lauréat du prix Jean Malrieu en 1985, du prix Antonin Artaud en 1995, du prix Des Charmettes/Jean-Jacques Rousseau en 2007.
Il a publié de nombreux ouvrages de poésie ou de prose chez différents éditeurs, en France et à l’étranger ; il a été invité dans plusieurs festivals de poésie ; il a collaboré à de nombreuses revues ; il a réalisé plusieurs livres d’artistes avec des plasticiens. Certains de ses poèmes ont été traduits en allemand, espagnol, portugais, roumain, grec, corse.
Un court-métrage de Philippe Guérin (mention spéciale au festival de courts métrages à Barcelone, 2019) a été tourné sur des poèmes extraits de Écaillures des jours.
Il tient pour une poésie lisible, incarnée, en souci du monde quotidien (amour, enfance, jardin, voyages…), poésie dans laquelle l’émotion n’est jamais suspecte. Sensible à la caducité de la vie, il écrit pour « tenir », approcher le dérobé sacré (non religieux) et travaille à corriger inlassablement le poème qu’il ne considère jamais achevé.
Parmi les dernières parutions :
Ruralités (Alcyone, 2016), Des jours, en s’en allant (Petra, 2016), Célébrer vivre (Estuaires, 2018), en collaboration avec le poète luxembourgeois René Welter, Quelques parts de voyages (Gros Textes, 2018), Rouge convalescent suivi de L’invisible donation (Tarabuste, 2019), Je me souviens doit être dit comme je t’aime (Éditions Henry, 2019), Écaillures des jours, extraits des Carnets 2002-2009 (Éditions Villa-Cisnéros, 2019)