Bertrand Marcos
Une enfance et une adolescence ponctuée par le tennis de haut niveau l’amène à beaucoup voyager dès le plus jeune âge. Parmi ses séjours à l’étranger les plus significatifs, on peut citer l’Argentine, où il vit entre seize et dix huit ans, suivie des États-Unis, où il étudie six mois à l’Université de Stony Brook dans l’état de New York. Initialement prévu pour une durée de quatre ans, il écourte ce dernier séjour pour revenir à Paris effectuer des études de Cinéma à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne. Il commence à mettre en œuvre son désir d’écriture et de mise en scène derrière la caméra à l’occasion de courts métrages d’études. Il écrit ensuite ce qui sera son premier court métrage professionnel, Délibération, sélectionné dans plusieurs festivals.
En parallèle d’un Master de Cinéma à la Sorbonne et de ses cours d’Art dramatique au conservatoire du 8e arrondissement de Paris, il met en scène sa première pièce de théâtre, La mort de Marguerite Duras, un monologue du célèbre acteur, dramaturge et psychiatre argentin Eduardo Pavlovsky, avec Jean-Paul Sermadiras, et la voix d’Anouk Grinberg, au théâtre de la Manufacture des Abbesses, au Lucernaire, au Festival d’Avignon et au théâtre de Belleville.
Fort de son envie de continuer à travailler sur le théâtre latino-américain, il dirige ensuite un cycle de lectures publiques à la Maison de l’Amérique latine au cours de la saison 2013-2014 et 2014-2015. Lectures pour lesquelles il travaille avec des comédiens comme Édith Scob, Dominique Pinon, Jean-Claude Dreyfus et Denis Lavant. Certaines donnent naissance à de futurs projets de mise en scène. Puis il rencontre le comédien Charles Gonzalès, qu’il met en scène dans une autre pièce d’Eduardo Pavlovsky, Potestad, avec la comédienne Raphaelle Gitlis, au théâtre de Belleville, en décembre 2015.
Mise en scène d’Agatha de Marguerite Duras en novembre 2016, et celle de Juste la fin du monde de Jean-Luc Lagarce en janvier 2017
Bertrand Marcos au 35e Marché…
Lundi 22 mai 2017 / 20 h / Périphérie #17